Présentation

Bonjour à tous ! Merci de vous arrêter un instant sur mon blog financier...
Vous pouvez y découvrir le suivi de mon portefeuille boursier, un portefeuille réel géré seul depuis 2006. Mes investissements pour le très long terme sont réalisés à travers une sélection de fonds de placement (aussi appelés OPCVM ou Sicav).
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En plus de vous tenir au courant de l'évolution de ce portefeuille, je serai amené à poster des commentaires sur mes idées du moment, des articles que je trouve intéressant... etc. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, suggestions ou questions.

samedi 24 mars 2012

"Pour profiter davantage de la hausse de l'or noir, nous évitons les majors comme Total"

Demande en hausse constante, ressources limitées… D'ici quelques années, les cours du pétrole flirteront avec les 200 dollars, affirme Sébastien Lagarde, le gérant du fonds Axa WF Framlington Junior Energy. Pour jouer ce thème en Bourse, il cible exclusivement les petites et moyennes valeurs du secteur, notamment des groupes parapétroliers et des spécialistes de l'exploration.

Capital.fr : Les cours du pétrole grimpent fortement depuis plusieurs semaines… cela peut-il se poursuivre ?
Sébastien Lagarde : Les tensions en Iran et au Nigéria tirent les prix de l'or noir. Actuellement, la prime de risque liée aux évènements géopolitiques est d'environ 20 dollars, un niveau particulièrement élevé. Dans les douze prochains mois, le prix du baril ne devrait toutefois pas dépasser 120 dollars, car, au-delà, cela pèse sur la consommation. A plus long terme en revanche, l'or noir ne peut que grimper. La demande, dopée par les pays émergents, augmente tous les ans, tandis que les ressources se raréfient et qu'il est de plus en plus coûteux de les exploiter. Dans ces conditions, il est très probable que le baril atteigne 200 dollars dans les 10 années à venir.

Capital.fr : Quelles valeurs ciblez-vous pour en profiter ?
Sébastien Lagarde : Nous évitons les majors, comme Total ou Exxon Mobil, qui sont moins sensibles à l'évolution des cours du pétrole et peinent à faire croitre leur production. En fait, notre portefeuille est composé uniquement de petites et moyennes valeurs. Leur capitalisation est comprise entre 100 millions et 5 milliards d'euros. Un tiers de nos investissements concerne des groupes parapétroliers. Ce sont les seules sociétés du secteur à profiter de la hausse des coûts de production, car elles fournissent les équipements pour la construction des puits, l'extraction du pétrole... Nous ciblons aussi les spécialistes de l'exploration, dont le cours peut exploser en cas de découvertes. Parmi nos valeurs, le groupe suédois Lundin Petroleum a ainsi vu de son action doubler l'an dernier après la découverte d'un champ géant en mer du Nord. Ces firmes font en plus régulièrement l'objet d'OPA. Petrohawk par exemple a été racheté en 2011 par BHP Biliton avec une prime de 60%.

Capital.fr : Mais c'est une stratégie risquée…
Sébastien Lagarde : Bien entendu, ces valeurs sont particulièrement volatiles. L'investisseur doit donc être prêt à assumer un risque important. Au 6 mars, notre fonds a bondi de 122% lors des trois dernières années, mais il avait chuté de plus de 50% en 2008. Conséquence, son gain se limite à 1,5% environ sur cinq ans. Sur le long terme, cette stratégie reste porteuse. Depuis le début des années 2000, l'indice regroupant les principales petites et moyennes valeurs pétrolières a progressé deux fois plus vite que le reste du secteur.

Capital.fr : Pour jouer cette hausse des cours de l'or noir, pourquoi ne pas plutôt acheter un certificat ?
Sébastien Lagarde : L'avantage des actions, c'est que vous pouvez dégager des plus-values même si les cours du pétrole baissent. Par exemple, si cette prime "géopolitique" disparaît, l'investisseur qui a acheté un certificat va subir des pertes. Nous, pas forcément. Car même avec un baril à 100 dollars, nos valeurs en portefeuille continueront à dégager croissance et profits.

(Thomas Le Bars - Capital.fr - 09/03/12)

Hugh Young still backing India's '10% growth' potential

SINGAPORE: Three years on from the post-Lehman market low, the investment story in Asia doesn't look that different now to the way it did then, says star fund manager Hugh Young.

In the week that Aberdeen joined the FTSE 100 London stock market index, the manager of the Aberdeen Global Asia Pacific equity and Indian equity funds told Citywire in Singapore that he remains an India bull and a qualified China bear.
Young has been consistent in his views on these economies. Returning to familiar ground he said he still preferred India to China.
'The government is hopeless but it's got some great companies - the Indian Unilever and GlaxoSmithKline, and then some of the home grown companies.'
While he concedes that India is one of the more expensive markets in the region, he is still excited by its growth potential.
'It could be growing at ten per cent compound as an economy. It's currently growing at around five per cent - the difference is corruption and lack of competency and efficiency.'
There are plenty of companies Young, who is A-rated by Citywire, is avoiding in India, where he has been stung by corporate corruption in the past.
And the rumours that constantly swirl round the Indian market can generate a lot of time-consuming extra work. Young said he gets lots of 'poison pen' letters, alleging irregularities at one company or another. 'India talks, unlike China,' he said.
Among the companies he doesn't like is the Reliance group, controlled by the Ambani family.

In China, meanwhile, he is bullish on the economy but he still can't find good companies to invest in. He expects to see some bad debts arising from the proliferation of infrastructure projects, but says the country can ride that out.
'But finding decent, sensible businesses run by respectable people - that's where we're bearish.' Too often, he says, the outside shareholder comes a distant second to the interests of the country.
Young is a long term investor in PetroChina and China Mobile, but he stresses: 'there are very few proper, really nice companies.'

He added only two new holdings in his Asia Pacific equity fund last year. 'One was HSBC at the beginning of the year, that was a slightly early one, but analytically we think that's right. We're not good at timing our purchases. We bought back into it because it was returning to its roots in Asia.'
The other was Keppel Corporation in Singapore, one of the local shipyards which is building rigs for Brazil.
'Three years ago was a spectacle for Asia: The spectre was the Asian crisis 15 years ago.' And with Europe still mired in its sovereign debt crisis, Young doesn't see Asia suffering any significant fallout.
'In this part of the world, everyone's got a strong balance sheet. Governments in pan-Asia haven't really done anything daft. The western crisis was a good warning to Asia, and a reminder to keep on the straight and narrow.'

In the Equity Asia Pacific Ex Japan sector covered by Citywire's analysis Young has returned 110.2% over three years to the end of Febraury, this while the average manager returned 85.1%.
In the Equity India sector, over the same period he has returned 124% against a gain of 86.5% from the average manager.

(Angus Foote - Citywire - 09/03/12)

Poretfeuille : Pas d'investissement au mois de mars

Pour le mois de mars, j'ai décidé de ne pas injecter en Bourse mes économies mensuelles provenant du salaire. Les sommes sont donc intégrées dans la partie liquidités.