Présentation

Bonjour à tous ! Merci de vous arrêter un instant sur mon blog financier...
Vous pouvez y découvrir le suivi de mon portefeuille boursier, un portefeuille réel géré seul depuis 2006. Mes investissements pour le très long terme sont réalisés à travers une sélection de fonds de placement (aussi appelés OPCVM ou Sicav).
Pour consulter les lignes précises du portefeuille, allez dans les menus sur la colonne de droite, puis à la rubrique "Mon portefeuille".
En plus de vous tenir au courant de l'évolution de ce portefeuille, je serai amené à poster des commentaires sur mes idées du moment, des articles que je trouve intéressant... etc. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, suggestions ou questions.

lundi 23 novembre 2009

Europe de l'Est : la dernière lettre d'East Capital (novembre 2009)

Voici la dernière lettre très complète, en français, d'East Capital sur les marchés d'Europe de l'Est :
une revue des marchés de Russie et CEI, des marchés baltes, d'Europe Centrale et d'Europe du sud-est ainsi qu'un point sur les différents portefeuilles.

le lien pour télécharger le fichier pdf

Edit du 27/11/09 : le site de la maison de gestion East Capital ayant changé de mouture, le lien précédent ne permet plus de lire la Pro Letter en français... désolé !

vendredi 20 novembre 2009

Time to Buy "Everything" in Baltic Revival, East Capital Says

Assets in Estonia, Latvia and Lithuania are undervalued and stand to benefit from an economic recovery in Russia, according to eastern European investor East Capital Group.

“At the moment, with the type of valuations that you have in the Baltics, I would be buying everything,” East Capital Chairman Peter Elam Hakansson said in a Stockholm interview. “As a long-term investor, this is a time to invest.”

The Stockholm-based fund with about 3 billion euros ($4.5 billion) under management owns stakes in Lithuanian dairy foods maker Pieno Zvaigzdes, telephone operator TEO LT AB and Estonian retailer Tallinna Kaubamaja AS. TEO trades at about eight times estimated earnings, compared to about 16 for the Dow Jones Stoxx 600 Index, a measure of European companies, Bloomberg data show.

After the region suffered the worst recessions in the European Union, signs of stabilization are luring investors back. Finland’s Pohjola Bank Oyj said last month it will open Baltic offices and that it plans to buy local insurers. Latvia is talking to possible buyers of state-owned Parex Banka. Sweden’s Swedbank AB and SEB AB, the largest lenders in the Baltic countries, said last month that growth in bad loans in the region has peaked.

Lack of Securities

Hakansson said investor interest in the Baltics jumped after Sweden’s largest telecommunications operator, TeliaSonera AB, offered to buy out minority shareholders of its Estonian and Lithuanian subsidiaries, AS Eesti Telekom and TEO, in August.

East Capital temporarily turned away potential investors in its Baltic fund earlier this year, citing high demand and a lack of securities that could be readily bought or sold. The fund, which resumed accepting new subscriptions on Sept. 7, has returned 19 percent in kronor so far in 2009, compared with a 23 percent increase in the OMX Baltic All-Share index.

Lithuania’s benchmark OMX Vilnius Index has risen 51 percent this year, Latvia’s OMX Riga Index gained 12 percent and Estonia’s OMX Tallinn Index increased 51 percent. All three underperformed the MSCI EM Eastern Europe Index, which jumped 88 percent.

Baltic governments may sell more state-owned businesses, Hakansson said. Neighboring Poland is offering stakes in power, oil, copper, phone and insurance companies to help plug a budget deficit that the government says will almost double next year.

“The Baltics have to catch up there,” he said, adding that utilities may be the first to be auctioned. “There are plenty of assets left to be sold.”

Slowing Decline

Lithuania’s economy contracted at a slower pace in the third quarter, shrinking at an annual rate of 14.3 percent, as the country showed the first signs of recovering from the EU’s deepest recession. Estonia’s economic decline slowed in the same quarter for the first time since the end of 2007, as improving demand from abroad helped compensate for weaker consumer spending.

Hakansson said Baltic consumer goods companies will benefit from a return to growth in Russia as well as recovery in home markets.

“What I always loved about the Baltics, which is a bit of the same thing as in the Nordics, is that you have small countries with small home markets having to look outside,” he said.

(Adam Ewing and Niklas Magnusson - Bloomberg - 19/11/09)

mardi 17 novembre 2009

Portefeuille : Pas d'investissement au mois de novembre

Ce mois-ci je décide de ne pas injecter en Bourse mes économies mensuelles provenant du salaire ; pour rappel, ces liquidités font partie du rendement lors de mes calculs hebdomadaires...
C'est le quatrième mois consécutif où je ne renforce aucun fonds.

vendredi 13 novembre 2009

Info fonds : Moneta Micro Entreprises

Romain Burnand (Moneta AM) : « Il y a des opportunités à saisir sur tous les segments de la cote »

Sanofi, Bureau Veritas ou Eurotunnel figurent parmi les valeurs favorites de Romain Burnand, co-dirigeant de Moneta AM et gérant des fonds Moneta Micro Entreprises et Moneta Multi Caps.

Les deux fonds Moneta Micro Entreprises (petites valeurs françaises) et Moneta Multi Caps (actions françaises) dont vous avez directement la charge affichent des performances appréciables depuis leur lancement. Quelle est votre philosophie d’investissement ?

Romain Burnand : Les deux fonds sont gérés par une équipe de quatre personnes qui se concentrent sur une centaine de valeurs. Nous faisons de l’analyse fondamentale mais aussi opérationnelle. Il faut comprendre à la fois les sociétés, leur modèle de développement, mais également les attentes du marché. Globalement, nous adoptons une stratégie d’inspiration « value » mais sans nous attacher à ce seul critère. Il y a des opportunités à saisir sur tous les segments de la cote et notamment sur les petites valeurs qui souffrent parfois d’une moins bonne réputation. Nous avons par le passé déjà déniché des small caps qui se sont révélées des paris très prometteurs, comme Maisons France Confort que nous avions mis en portefeuille dès 2003. C'est l’intérêt d’un fonds comme Moneta Micro Entreprises de dénicher des pépites. Quant au fonds Multi Caps, il regroupe 15% de petites valeurs, 35% de valeurs moyennes (dans le Cac Mid 100) et des plus grandes valeurs pour la moitié du portefeuille.

Est-ce encore le bon moment pour revenir sur les marchés ? La hausse très significative depuis le point bas du 9 mars n’a t-elle pas été trop rapide au regard des prévisions de croissance pour 2010 ?

R.B : Il ne faut pas se laisser impressionner par le redressement des marchés commencée en mars. La hausse de 18% du Cac 40 depuis le début de l’année n’est pas si spectaculaire car on partait quand même de très bas ! Ceci étant, l’environnement reste incertain. Personne n’attend un retour à une croissance rapide de l’économie mondiale l’an prochain.

A t-on tiré les leçons de la crise ?

R.B : Difficile de savoir si les leçons des crises qui se succèdent sont bien tirées. Notre système économique avance aussi grâce aux crises. Elles font partie intégrante des cycles. Attention à ne pas se laisser gagner par les discours les plus pessimistes. Dans la sphère financière, il y a toujours une prime à celui qui tient le discours le plus catastrophiste, l’optimisme étant souvent pris pour de la naïveté.

Tout de même, cette crise a failli terrasser le système financier international...

R.B : Certes, mais certains établissements ont mieux résisté que d’autres, d’où l’importance de procéder à l’analyse des stratégies des entreprises au cas par cas, que ce soit dans le secteur financier ou ailleurs.

Des exemples de valeurs que vous aviez en portefeuille et qui ont bien traversé la crise ?

R.B : Nous avions investi sur Gemalto qui gagne plus de 60% sur un an. La fusion entre Gemplus et Axalto en 2006 avait été applaudi par le marché puis le titre avait baissé suite aux difficultés inévitables lors d’un tel rapprochement. Nous sommes entrés à contre courant. La société bénéficie d’une activité relativement récurrente et dispose d’une structure financière très solide, avec une trésorerie excédentaire. Nous étions aussi positionnés sur une valeur comme Saft. Le fabricant de batteries gagne plus de 65% depuis le début de l’année. Il avait pourtant déçu les investisseurs auparavant qui lui reprochaient son endettement (résultat d’un ancien LBO) mais la société n'a pas un caractère trop cyclique.

Vos valeurs préférées actuellement ?

R.B : Une valeur avec un faible degré de risque comme Sanofi est à regarder de près. Le groupe pharmaceutique a battu le consensus des analystes et révisé à la hausse ses guidances. La structure financière est saine, la stratégie claire et la valorisation encore faible. Le moment me semble aussi opportun pour revenir sur une valeur comme Bureau Veritas, le spécialiste de la certification. Le titre a baissé suite à l’arrêt de la croissance au dernier trimestre mais c’est un effet retardé de la crise largement pris en compte dans la valorisation du titre. Nous apprécions également une valeur comme Eurotunnel. Sa structure financière est maintenant bien sécurisée après la renégociation de la dette, le secteur ferroviaire porteur, bien positionné sur le thème de la croissance verte. La concession qui court jusqu’en 2086 est une bonne opportunité pour se protéger contre un éventuel regain de l'inflation.

(Julien Gautier - Boursorama - 13/11/09)

lundi 9 novembre 2009

East Capital Live Q&A

Voici le lien vidéo du dernier Question-Réponses live des dirigeants de la maison East Capital :
un petit menu vous permet d'accéder directement aux 14 questions posées.
Très instructif, à condition d'être assez à l'aise avec l'anglais !

ouvrir une nouvelle page avec la vidéo

(site East Capital - 03/11/09)